Vous y trouverez le condensé de ma présence sur internet, de mes travaux intellectuels passés ou en cours. Un cocktail jalonné par mes envies d’évasion qui restaurent mon être et laissent souvent place à l’inspiration, au repos et à la contemplation.
Pour la seconde édition du Bushido 87 dont la première édition a été un succès les organisateurs de cet événement ont fait appel à E-BOX pour le plus grand plaisir des amateurs et fans de ce sport de combat. Reconnu par Karaté Bushido comme étant LE spécialiste en France de la cage octogone, cette dénomination va désormais au delà des frontières. C’est à Bruxelles le 10 et 11 mars derniers que le savoir-faire français a été mis au pied du mur.
RECIT DE VOYAGE
Il est 17 heures, le 10 mars quand toute l’équipe d’E-BOX arrive à Kraainem.
Elle se met tout de suite au travail et en 2 heures et 30 minutes la cage est entièrement installée. « L’un de nos records. » Affirme-t-elle.
C’est le lendemain 11 mars qu’a lieu la « fight week. » Mais « nous avons besoin de nous reposer et de nous restaurer, » explique Remy un membre de l’équipe. « L’accueil des organisateurs belges est impeccable : l’hôtel et la restauration sont au point, ce qui n’est pas pour nous déplaire après le labeur. » relate Xavier Mercier le Directeur d’E-BOX également présent. « Il faut signaler que l’hospitalité belge a été remarquable, » rajoute-t-il.
11 mars 2023,
La cage reçoit de nombreux combattants face à une foule de spectateurs enthousiastes. Une bonne ambiance, de l’euphorie dans le respect et la rigueur. « C’est très rare, d’avoir à faire à des spectateurs aussi respectueux face à un personnel de sécurité en si petit nombre ! En, plus pas de débordements, » retrace Julien un membre de l’équipe d’E-BOX.
C’est finalement avant minuit qu’a lieu la fin des combats.
L’équipe se dirige alors vers la cage pour la démonter en 1 heure et 45 minutes, « l’un de nos records, également, » confirme tous les membres.
« Et aucun incident sur la cage, » remarquent-ils.
Bushido 87, seconde édition aura été une belle expérience, pour le MMA qui fait son chemin en Europe. Quel pays sera le prochain à recourir aux services d’E-BOX?
Trouvez d’amples détails sur cet article dans blog d’EBOX.
Avec l’arrivée du MMA en France, l’actualité s’attarde depuis quelques mois sur les enjeux économiques, sociaux et politiques liés à la structuration de ce sport. Les lecteurs, internautes et fans ont l’embarras quant aux différents combats organisés par les clubs qui attirent de plus en plus d’adeptes. Dans tout ce flux d’informations, aucune n’a été livrée jusqu’ici ( officiellement) sur le choix de l’aire de combat officielle. Autrement dit où les combats doivent-ils se dérouler? Est-ce dans une cage ou un ring? Quelles en sont les caractéristiques et dimensions?
Ce qu’il faut savoir sur l’aire de combat officielle
Par essence, lors des combats, l’aire a pour but de sécuriser les combattants, les coachs, le staff arbitral et le public. Historiquement, sa normalisation fait partie des exigences de ce sport: une initiative des organisations de MMA visant à structurer cette discipline née en 1993.
Les premiers combats ressemblaient aux jeux de cirque, une cage au lieu d’un ring, des adversaires qui se piétinaient et s’envoyaient des coups de coudes dans les cervicales, des visages ensanglantés et de terribles KO : tous les ingrédients étaient là pour que les médias s’y intéressent et se déchaînent. Les détracteurs sont nombreux, les politiciens s’en mêlent et mettent la pression sur les organisateurs contraints à respecter les règles unifiées (Unified Rules of Mixed Martial Arts) du MMA fixées par la commission athlétique du New Jersey en septembre 2000. Bien que la plupart des organisations appliquent ces règles depuis cette date, elles ne sont officiellement reconnues que depuis le 30 juillet 2009, date à laquelle elles furent adoptées à l’unanimité par l’association des commissions de boxe (The Boxing Commissions association) afin d’éviter des interdictions.
Hormis le respect des règles, l’Ultimate Fighting Championship (UFC) pionnière des organisations de MMA se distingue des autres organisations de MMA grâce à sa cage: un octogone d’environ 9,50 m de diagonale, surélevé à 1,20 m du sol. Il est clôturé par des piliers recouverts de protections en plastique et reliés entre eux par un grillage. Cette clôture mesure 1,76 m de haut. Cette surface de combat est avantageuse pour les bons lutteurs et pour les phases de Clinch (combat au corps à corps debout). En effet, les combattants peuvent se servir du grillage et des nombreux coins pour y bloquer leurs adversaires et limiter leurs moyens de défense: aspect beaucoup plus difficile sur un ring avec des cordes (utilisé dans d’autres organisations de MMA), le risque de passer entre et de tomber freine ce processus. À contrario, le ring a tendance à favoriser le Striking (combat debout, pieds et poings) par sa taille plus petite (déplacement défensif plus restreint, proximité constante de l’adversaire). Ces deux aspects du combat sont présents sur les deux surfaces, mais une considération des avantages et inconvénients des deux possibilités est nécessaire. De plus, le choix de l’octogone marque l’identité, l’orientation et le style de combat préconisé par l’organisation instigatrice. Par conséquent, le terme « Octogone » est déposé, tout comme les dimensions de la cage. Les autres organisations n’ont pas le droit de l’utiliser.
Retrouvez le résultat des sondages auprès des amateurs de sports de combat sur le blog d’E-Box.
source : wikipédia, sondage anonyme des fans des sports de combat.
Née entre 1820 et 1825 et morte le 10 mars 1913 à Auburn, est une militante américaine en faveur de l’abolition de l’esclavage des Afro-Américains, puis militante contre le racisme et féministe.
Ayant fui l’esclavage elle fait passer des dizaines d’esclaves vers le nord des Etats-Unis et le Canada avant et pendant la guerre de Sécession, avant de participer à la lutte pour le droit de vote des femmes. C’est donc son combat, au sein du réseau secret d’évasion Underground Railroad, qui a fait l’objet d’un long-métrage en 2019 : un film américain réalisé par Kasi Lemmons, qui retrace l’histoire d’Harriet Tubman, comme la « Moïse noire » ayant permis l’évasion de nombreux esclaves du Sud des États-Unis après sa fuite en 1849 : « Je vivrai libre ou je mourrai! »/ « Free or die! » fût sa devise.
Harriet Tubman, la première femme afro-américaine à figurer sur les billets de 20 dollars?
Pourquoi figurer sur un billet de banque?
« Il est important que nos billets, notre argent (…) reflètent l’histoire et la diversité de notre pays et l’image d’Harriet Tubman ornant la nouvelle coupure de 20 dollars les reflète de façon évidente », a déclaré la porte-parole de la présidence, Jen Psaki en début d’année 2021.
Sachant que le projet avait été initié par Barack Obama en 2016 mais suspendu par Trump. Sa relance se fait quand les USA écrivent une page historique marquée par les violences policières, la dénonciation du racisme envers les minorités de couleur.
Que le visage d’Harriet Tubman, the black Moses* apparaisse, un jour prochain, sur ces billets de banque n’est qu’une reconnaissance bien méritée.
Reine Nanny ( vers 1685-autour de 1755) est originaire du Ghana, esclave déportée en Jamaïque, Reine Nanny des Marrons a appris à son peuple comment se défendre contre les colons anglais afin d’obtenir leur indépendance. Elle devient ainsi une icône pour les jeunes filles noires en Jamaïque où son histoire leur est contée afin d’éveiller en elles l’esprit du leadership. On peut retrouver le récit sur les plateformes en ligne comme Soundcloud.